Luxa ~ Une louve énerver et sans pitié...

INFORMATIONS GÉNÉRALES

Prénom : Luxa
Âge : 1 ans et demi.
Sexe : Femelle.

CARACTÈRE

Luxa est assez mystérieuse. Même si elle ne manque pas de caractère.Oh oui, un caractère fort. Elle est obstinée et respectée.
Si elle te donne un ordre, applique le vite ou tu en paieras le prix. Peu de loups osent la défier.
Elle n'aime pas les faibles, oh que non. On l'a désignée comme faible à sa naissance, mais elle s'est entraînée intensément, sans relâche. Elle à repousser ses limites et maintenant, plus personne ne la désigne comme tel.
Elle est très solitaire. Elle reste loin des autres et à un coeur de pierre. Une seule personne la connait vraiment: Alpha.
Elle déteste les femelles. Elle n'a aucune pitié pour elles. Dans un combat, elle laissera les femelles mourir et protégerait les mâles. Sauf une : Alpha.
Personne ne sait pourquoi elle est habitée par cette haine envers les femelles. Bien des loups ont essayer de percer sa carapace: ils ont échoué et sont passés sur sa liste noire des loups à tuer. Mais elle se retient à cause de la deuxième règle.
Malgré cela, elle se plait à un jeu: draguer tous les mâles, quel que soit leur meute. Elle se délecte à briser leurs émotions en brisant leur rêve d'un coup.
Ses sentiments sont enterrés au plus profond d'elle même depuis si longtemps que personne ne sait quand elle est devenue ainsi.

PHYSIQUE

Je suis très simple et pourtant, ma beauté éblouie et envoûte les mâles. Lorsque les rayons de la lune se reflète sur mon pelage de neige, si soyeux, dont je brosse les longs poils chaque jour, sa blancheur se rapproche des étoiles. Quand mes yeux d'un rouge sanglant, aux fines pupilles noir sont emplis de haine. Mes oreilles et mes pattes ont la blancheur de la lune. Une longue queue touffue et gracieuse, aussi blanche que mon pelage. De longues pattes agiles et un museau blanc. Une gueule couvrant de longs crocs étincelants capable de déchirer la chair des bêtes les plus féroces. Tel est le physique que le clair de lune vous dévoile. Mais il en coûtera de vous vie.

HISTOIRE

A 3 lunes
Petit comme tu étais, tu n'as pas compris ce qu'il se passait. Tout était rouge autour de toi. Il faisait chaud, si chaud. Tu avais du mal à voir, des braises t'encerclaient. L'air te brûlait les poumons. Tout le monde courait dans tous les sens, affolés. Les abris se consummait sous des lueurs rouges et chaudes. On t'attrappa par la peau du cou et te dit sortir en quatrième vitesse. Les yeux arrondis, tu ne comprenais pas. On te posa à terre. Tu te retournas et reconnu le visage de ta mère. Mais tu ne trouvas pas ton père. Tu cherchas des yeux, mais ne le trouva pas. Tu sentais qu'il n'était plus. Tout au fond de toi, ton coeur te le murmurait. Tu t'apprêtais à parler quand tout devint noir autour de toi et toute réalité disparut.

A 9 lunes


Tu marchais à longues foulées, malgré tes petits pattes, suivant les traces de ta mère et de ta jeune soeur.
Tu riais de joie et dévorait pour la énième fois le paysage de brume. De majestueux arbres, ne semblant pas tout jeune, occupait cette terre. Des nuages pointaient le bout du nez au-dessus de leur cîme. Un souffle te glaça. Des crépitements commençerent à s'entendre, et une pluie fine et glaçiale tomba sur ta famille et toi. Tu frissonas sous ton pelage. Vous vous élançèrent alors, à la recherche d'un abri. Tu trébuchas sur une racine et t'écrasa au sol dans un bruit sonore. Ta mère revint sur ses pas pour te relever, mais ta soeur courait encore. Un bruit d'éclaboussure résonna dans ta tête. Ta mère, les yeux écarquillés de terreur, courut vers la direction que la petite avait prise. Un deuxième bruit d'éclaboussure résonna, plus sourd et puissant encore. Tu courus avec prudence et sentit de l'eau sous tes pattes. Tu balaya la surface bleu des yeux et vit avec horreur ta mère et ta soeur se débattre pour revenir. Tu voulus plonger les chercher, mais elles disparurent et des larmes ruisselèrent sur lles poils de ta joue. L'horreur te saisit et la tristesse te tua interieurement. Des milliers d'épines te transperçaient le coeur. Tu plongas dans un néant totale.




A 1 ans
Les paupières closes, les oreilles à l’affût du moindre son, les sens en éveil, tu guettais ta proie. Un petit bruit celui d'une queue fouettant timidement le sol, attira ton attention. Tu huma l'air, le vent soufflant dans ta direction, en ta faveur, tu sentis un louveteau ennemi, non loin, à trois pas de là. Tu levas une patte, lentement, sans faire de bruit, et t'approcha doucement de ta proie. Tu t'arrêtas derrière un arbuste et ouvrit les yeux. Tu repéras le corps de la petite proie, se remuant sur des feuilles. Elle sentait si bon. Tu te mit en position, te prépara à sauter. Elle ne t'avait toujours pas sentit. Tu fondit sur elle en un instant. Elle n'eut, malheureusement pour elle, le temps de t'apercevoir. Elle gisait morte entre tes crocs. Tu adressas une phrase silencieuse à ta mère et ta soeur, puis alla la ramener au repaire de ceux qui t'avaient " recueillie ". Tel est ta vie désormais, depuis bien longtemps. Et désormais, du haut de tes un ans, ta vie n'a pas changée et la douleur, elle, n'est pas passée.